Bande-annonce et extrait du court métrage, sélectionné au Festival interférences . “La moisson de mon ami” est le récit documentaire et intimiste d’une amitié. Celle du vidéaste et de son ami paysan. Tous les deux sont habités par une peinture qu’ils ont étudiée des années auparavant lors d’un cours d’histoire de l’art : “La moisson” de Bruegel l'ancien, une peinture à l’huile de 1565.
Le documentaire suit la production d’un paysan houblonnier vivant en Bretagne. Il témoigne de l’impact de son travail sur son rapport au temps.
Dans ce documentaire, est mis en parrallèle la relation au temps qu’entretiennent le paysan, le peintre et le vidéaste. Pour le paysan, le cycle des saisons l’oblige à rejouer une scène presque ancestrale, celle d’une moisson. Celle là même capturée, par le peintre des siècles auparavant. Et pour le vidéaste, c’est son outil d’enregistrement du quotidien qui se confronte au rythme du temps qui passe.
Dans ce film la vidéo apparaît comme objet de mise en relation des choses, des êtres et de leurs temporalités. C’est aussi plus généralement notre rapport au temps dans notre société qui est ici interrogé.
Dans ce documentaire, est mis en parrallèle la relation au temps qu’entretiennent le paysan, le peintre et le vidéaste. Pour le paysan, le cycle des saisons l’oblige à rejouer une scène presque ancestrale, celle d’une moisson. Celle là même capturée, par le peintre des siècles auparavant. Et pour le vidéaste, c’est son outil d’enregistrement du quotidien qui se confronte au rythme du temps qui passe.
Dans ce film la vidéo apparaît comme objet de mise en relation des choses, des êtres et de leurs temporalités. C’est aussi plus généralement notre rapport au temps dans notre société qui est ici interrogé.